Artiste autodidacte, soul, reggae, groove et vérité humaine
Mon parcours
Paris, 1982. Un dixième arrondissement vibrant, des sons qui s’échappent des fenêtres, une ville qui bruisse de mille inspirations. C’est dans ce décor que naît Hatem Jazi, sans savoir que la musique deviendra, un jour, son refuge, son langage, son fil conducteur.
À 15 ans, il écrit déjà comme on respire. Le rap est son premier terrain de jeu : des mots crus, vrais, posés sur des instrumentaux qu’il explore avec une soif immense. Mais au fond, il sait qu’il cherche plus qu’un style : il cherche une voix.
Cette voix, il la trouve à 18 ans, le jour où il rencontre le guitariste José Aguilar Falcon. Une guitare, un mentor, et tout bascule. Les cordes ouvrent une porte nouvelle. Hatem ne se contente plus d’écrire : il compose, il construit, il raconte différemment. Le reggae soul, le funk, les textures acoustiques… tout s’aligne. Sa musique commence à ressembler à ce qu’il ressent profondément.


Les années qui suivent sont faites de projets qui marquent : Je parle à vous, puis son premier EP Que devient l’amour avec Open the Gates. Les scènes parisiennes deviennent son terrain d’expression, les collaborations s’enchaînent, et chaque rencontre ajoute une nuance à sa palette artistique.
Avec Philman, il travaille durant quatre ans sur un album acoustique d’une intensité rare. Les aléas de la vie empêchent la sortie du projet, mais les titres restent vivants : Loin de ce monde, Love and Music… Hatem les porte encore en lui.
Puis vient le temps des collectifs : Saintbioz, les vibes caribéennes, les featurings du Sud avec Kahong. La musique devient un espace de partage, de fraternité, d’évolution constante. Et à chaque nouveau morceau, une certitude revient : la musique est là pour relier les cœurs.
Aujourd’hui, Hatem renoue avec son essence, propulsé par Strategy Record et Ragga Dub Force. Ses nouvelles chansons portent une maturité différente, un message plus clair que jamais : paix, amour, liberté et partage.
Il revient pour vibrer, mais surtout pour faire vibrer.
Parce qu’au final, la musique n’a jamais cessé de l’accompagner. Elle fait partie de lui — autant qu’il fait partie d’elle.










